J'ai donc vu GHINZU les amis, en compagnie de Chase, Lyv & Thieu et qu'on se le dise, je ne regrette nullement les kilomètres engloutis, les désagréments sur la ligne Paris - Blois (dont le connard qui se suicide sur ma voie et qui me fait rater ma correspondance de 19h. Je vous pardonne, j'espère juste que vous vous êtes raté), le vent très fort de Paris qui a failli me propulser dans la Seine et les potatoes très chères du McDo de Blois, qui s'avère être vraiment moins bien que celui de Nîmes, quand même.
Bref, j'ai vu Ghinzu, sans artifices, sans Stormtroopers hélas, mais collée à la scène juste devant Stargasm et son piano, et mon Dieu, ça vaut toutes les entrées fracassantes du monde. C'était beau, magnifique, grandiose, pur et merveilleux à la fois. Stargasm est une bête de scène, un mégalo complet qui prend son pied à se faire applaudir pendant bien cinq minutes, debout sur son clavier. On a même eu droit à un "merci", puis un "merci beaucoup", et un "on est très content de jouer avec vous ce soir", et quand on voit l'attitude du maître de cérémonie, on se dit que l'aveu vaut de l'or. Et puis pour la petite anecdote, pendant que je pleurais sur l'intro de The Dragster Wave, Stargasm a interrompu la chanson pour me lancer un cinglant "Ben quoi, qu'est-ce qu'il y a?". J'men fous, il s'est cassé la gueule après.
Puis après trois rappel et une fin mémorable sur Blow (pleurs extatiques), nous sommes rentrés dans la belle maison de Chasou pour manger des pizzas, refaire le concert, raconter nos vies, raconter de la merde, dialoguer en canadien sur skype et explorer les fonds marins et la faune qu'ils abritent. Private Joke. Puis ensuite j'ai pleuré, j'ai pas voulu rentrer chez moi, j'ai vu Ghinzu et c'était magnifique, je veux les revoir, je les aime très fort, ce sont des dieux, un vrai bonheur, je les vénère, je haaaaaaaaaaaaaaa. Voilà.
Bref, j'ai vu Ghinzu, sans artifices, sans Stormtroopers hélas, mais collée à la scène juste devant Stargasm et son piano, et mon Dieu, ça vaut toutes les entrées fracassantes du monde. C'était beau, magnifique, grandiose, pur et merveilleux à la fois. Stargasm est une bête de scène, un mégalo complet qui prend son pied à se faire applaudir pendant bien cinq minutes, debout sur son clavier. On a même eu droit à un "merci", puis un "merci beaucoup", et un "on est très content de jouer avec vous ce soir", et quand on voit l'attitude du maître de cérémonie, on se dit que l'aveu vaut de l'or. Et puis pour la petite anecdote, pendant que je pleurais sur l'intro de The Dragster Wave, Stargasm a interrompu la chanson pour me lancer un cinglant "Ben quoi, qu'est-ce qu'il y a?". J'men fous, il s'est cassé la gueule après.
Puis après trois rappel et une fin mémorable sur Blow (pleurs extatiques), nous sommes rentrés dans la belle maison de Chasou pour manger des pizzas, refaire le concert, raconter nos vies, raconter de la merde, dialoguer en canadien sur skype et explorer les fonds marins et la faune qu'ils abritent. Private Joke. Puis ensuite j'ai pleuré, j'ai pas voulu rentrer chez moi, j'ai vu Ghinzu et c'était magnifique, je veux les revoir, je les aime très fort, ce sont des dieux, un vrai bonheur, je les vénère, je haaaaaaaaaaaaaaa. Voilà.