J'ai envie de me faire des ennemis. Gratuitement.
Le dernier film de Burton a l'air vraiment ridicule au possible, avec toutes ces images surfaites, ces classiques réchauffés & ces images coloriées au stabilo par un enfant de quatre ans sous LSD. Je me demande quand même où est passé le cinéma le vrai, avec des acteurs de chair, des décors (non, un écran vert n'est pas un décor) des dialogues des vrais & des effets spéciaux limités. Quand je vois le cinéma de Burton à l'époque de Beetlejuice, je me dis que ce mec aurait du mourir juste après sa vague de bons films (juste après Big Fish en fait, que j'ai trouvé magnifique) pour éviter qu'il nous ponde de sombres merdes dans le genre d'Alice, la petite fille qui tourbillonne dans un monde de cinglés qui nous donne l'impression d'avoir pris 28 grammes d'acide en trois secondes chrono. Rentrez-vous dans le crâne une bonne fois pour toute que Tim Burton, c'est du réchauffé, ça n'a plus rien d'original (où sont passés Ed Wood et Edward, bordel? Si quelqu'un répond DTC, je répondrai que c'est tout à fait plausible). Alors parce que j'aime juger gratuitement et que j'ai très envie de me faire taper dessus: La gloire de Tim Burton, c'est complètement fini, ce mec est devenu nul.
Il y avait un temps où les images elles aussi parlaient, où la construction des scènes apportait un sens à l'histoire, comme un calligramme, comme un poème dont la forme explique le sens. Un temps où les lignes dessinaient l'espace, dessinaient le sens, un temps du film d'auteur (Marcel Carné reprezents) où les bouses incommensurables (comme on les appelle dans le jargon) avaient une place modérée, sinon inexistante.
Il y avait aussi un temps où on pouvait faire un peu moins d'une heure de train pour aller voir un bon film, un vrai (Je pense à Valhalla Rising - merci Uekte - qui ne passe pas près de chez moi). Alors que toutes les innommables bouses du genre Twillight trouvent leur place dans n'importe quel cinéma de quartier. Il y avait un temps où il y avait une justice, je crois. Puis parce que j'aime le cinéma, et surtout que j'aime ce qui est beau (j'ai toujours eu un grand sens de l'esthétique): Nosferatu: Phantom der Nacht, par W. Herzog (qui a réalisé Rescue Dawn avec Bale, au passage). Parce que ça, ça tu vois mon fils, c'est du cinéma.
Le dernier film de Burton a l'air vraiment ridicule au possible, avec toutes ces images surfaites, ces classiques réchauffés & ces images coloriées au stabilo par un enfant de quatre ans sous LSD. Je me demande quand même où est passé le cinéma le vrai, avec des acteurs de chair, des décors (non, un écran vert n'est pas un décor) des dialogues des vrais & des effets spéciaux limités. Quand je vois le cinéma de Burton à l'époque de Beetlejuice, je me dis que ce mec aurait du mourir juste après sa vague de bons films (juste après Big Fish en fait, que j'ai trouvé magnifique) pour éviter qu'il nous ponde de sombres merdes dans le genre d'Alice, la petite fille qui tourbillonne dans un monde de cinglés qui nous donne l'impression d'avoir pris 28 grammes d'acide en trois secondes chrono. Rentrez-vous dans le crâne une bonne fois pour toute que Tim Burton, c'est du réchauffé, ça n'a plus rien d'original (où sont passés Ed Wood et Edward, bordel? Si quelqu'un répond DTC, je répondrai que c'est tout à fait plausible). Alors parce que j'aime juger gratuitement et que j'ai très envie de me faire taper dessus: La gloire de Tim Burton, c'est complètement fini, ce mec est devenu nul.
Il y avait un temps où les images elles aussi parlaient, où la construction des scènes apportait un sens à l'histoire, comme un calligramme, comme un poème dont la forme explique le sens. Un temps où les lignes dessinaient l'espace, dessinaient le sens, un temps du film d'auteur (Marcel Carné reprezents) où les bouses incommensurables (comme on les appelle dans le jargon) avaient une place modérée, sinon inexistante.
Il y avait aussi un temps où on pouvait faire un peu moins d'une heure de train pour aller voir un bon film, un vrai (Je pense à Valhalla Rising - merci Uekte - qui ne passe pas près de chez moi). Alors que toutes les innommables bouses du genre Twillight trouvent leur place dans n'importe quel cinéma de quartier. Il y avait un temps où il y avait une justice, je crois. Puis parce que j'aime le cinéma, et surtout que j'aime ce qui est beau (j'ai toujours eu un grand sens de l'esthétique): Nosferatu: Phantom der Nacht, par W. Herzog (qui a réalisé Rescue Dawn avec Bale, au passage). Parce que ça, ça tu vois mon fils, c'est du cinéma.
Et j'aime vraiment trop le bruit d'alerte de mon antivirus.