Il est 07h27 du matin, et j'ai goûté aux joies de la vie éternelle. Ouais, c'est un peu ça, voir ses amis s'en aller les uns après les autres (d'MSN, j'entends) et ne jamais, jamais s'endormir. C'est bien, c'était bon, où est-ce qu'on signe pour l'éternité?
Je n'ai toujours pas mes résultats, je ne sais pas ce qu'il va advenir des efforts que j'ai fourni pendant mon semestre, je ne sais pas si mon retard d'une heure au partiel sur Poe m'aura porté préjudice, je ne sais pas si Shakespeare a décidé d'être mon ami ou bien une fois de pus de me faire comprendre qu'il me détestait, je ne sais pas si Flaubert m'aura porté bonheur ou si Tolstoï & son Anna Karénine auront ma perte. Bref.
J'ai pas très envie de parler de Six Feet Under maintenant, à vrai dire, même s'il est certain que vous aurez droit à un blablatage intempestif de ce côté là. Non, pour le moment, je suis sous le choc de ma nuit passée à vagabonder entre mes deux Roberts favoris (à savoir Zombie & Rodriguez hein, la vanne n'est pas de moi, n'est-ce pas), et je suis en ce moment même prise dans la furie tant gore & humoristique - sachez, ô mortels, Grindhouse est à présent ma nouvelle bible - que dans la douleur de la perte d'un être aimé. Enfin, je me comprends. Federico Diaz est un homme de bien.
C'est fou comme chaque été se répète depuis quelques temps: attente de résultats scolaires, country music, boulimie cinématographique, j'en passe et des meilleures. A croire que mes intérêts artistiques ne sont que des cycles ultra répétitifs qui se résument à la Littérature en hiver & au cinéma en été. De toutes façons, j'ai toujours été déchirée entre deux extrêmes, étendue entre deux pôles, je suis une contradiction sans compromis, et en plus, je raconte ma vie.
Je suis bizarre, et en plus, je ne sais pas quoi faire. Mais c'est quand même beau quand ça m'arrive. Je n'ai toujours pas mes résultats, je ne sais pas ce qu'il va advenir des efforts que j'ai fourni pendant mon semestre, je ne sais pas si mon retard d'une heure au partiel sur Poe m'aura porté préjudice, je ne sais pas si Shakespeare a décidé d'être mon ami ou bien une fois de pus de me faire comprendre qu'il me détestait, je ne sais pas si Flaubert m'aura porté bonheur ou si Tolstoï & son Anna Karénine auront ma perte. Bref.
J'ai pas très envie de parler de Six Feet Under maintenant, à vrai dire, même s'il est certain que vous aurez droit à un blablatage intempestif de ce côté là. Non, pour le moment, je suis sous le choc de ma nuit passée à vagabonder entre mes deux Roberts favoris (à savoir Zombie & Rodriguez hein, la vanne n'est pas de moi, n'est-ce pas), et je suis en ce moment même prise dans la furie tant gore & humoristique - sachez, ô mortels, Grindhouse est à présent ma nouvelle bible - que dans la douleur de la perte d'un être aimé. Enfin, je me comprends. Federico Diaz est un homme de bien.
C'est fou comme chaque été se répète depuis quelques temps: attente de résultats scolaires, country music, boulimie cinématographique, j'en passe et des meilleures. A croire que mes intérêts artistiques ne sont que des cycles ultra répétitifs qui se résument à la Littérature en hiver & au cinéma en été. De toutes façons, j'ai toujours été déchirée entre deux extrêmes, étendue entre deux pôles, je suis une contradiction sans compromis, et en plus, je raconte ma vie.
Et parce que chez moi, on aime la joie, J-2 baby. ♥
moi aussi je connais ça les soucis d'ordre dodotage!
Et moi aussi prise entre musique et litterature! Le cercle infernal aha ;)