Kamelot hier soir au Rockstore de Montpellier a été une des expériences les plus surprenantes de ma vie, et je pèse mes mots. Je ne suis qu'une faible fillette, et c'est sûrement pourquoi la chose qui m'a le plus marquée fut le charisme resplendissant de Roy Khan. Permettez donc que je m'extasie dans les règles de l'art.
J'ai toujours eu un problème avec les hommes en soutane ça me fait des gouzis-gouzis dans le ventre. C'est un peu ce que j'ai subi quand Mr Khan donc, est entré sur scène dans sa veste longue à motifs baroques et à boutons style officier (une beauté) sur l'intro magnificente de Ghost Opera (j'ai joui trois fois), avec laquelle ils ont ouvert les hostilités.
Je crois que ce qui était le plus magnifique dans la manière de chanter de Khan était les expressions de son visage, ses gestes, ses mouvements de monstre arachnéen, et vas-y que je me vautre par terre, que je m'accroupis, que je fais des trucs bizarres avec mon corps, ses attitudes, ses positions et son regard horriblement pénétrant. Pendant tout le show j'ai eu la sensation d'être à mi-chemin entre Opéra & Théâtre, entre concert de gros bourrins et sensibilité extrême. le tout vêtu d'une soutane. J'ai pas eu droit à Call Of The Sea, ni à The Human Stain (mais tant mieux, sinon j'aurais pleuré) par contre je fus ravie par Nights of Arabia & Karma, qui est quand même une de mes préférées. Si on m'avait proposé Alexandria par contre, j'aurais pas refusé, mais vu la beauté du solo de Casey Grillo, j'ai fermé ma gueule. Je crois que j'ai rarement vu un jeu aussi tempéré, aussi modéré, aussi caressant que puissant, qui oscille lui aussi entre deux extrêmes. En fait, Kamelot est une superbe histoire de dualisme (en soutane), c'est pour ça que ça me va si bien, je crois. Et puis de toutes façons, ils ont fini par March of Mephisto, le super titre que je n'aurai raté pour rien au monde. J'ai donc attendu la fin du concert pour aller essorer ma culotte, parce que ouah, Kamelot ça poutre tant au niveau de la musique que des paroles (très important les paroles), et j'ai envie de me promettre qu'il y aura une deuxième édition.
Et puis sinon, Roy Khan s'est fait mettre la main au cul par sa choriste. Deux fois. Et Leaves' eyes, c'est un peu à chier quand même.
J'ai toujours eu un problème avec les hommes en soutane ça me fait des gouzis-gouzis dans le ventre. C'est un peu ce que j'ai subi quand Mr Khan donc, est entré sur scène dans sa veste longue à motifs baroques et à boutons style officier (une beauté) sur l'intro magnificente de Ghost Opera (j'ai joui trois fois), avec laquelle ils ont ouvert les hostilités.
Je crois que ce qui était le plus magnifique dans la manière de chanter de Khan était les expressions de son visage, ses gestes, ses mouvements de monstre arachnéen, et vas-y que je me vautre par terre, que je m'accroupis, que je fais des trucs bizarres avec mon corps, ses attitudes, ses positions et son regard horriblement pénétrant. Pendant tout le show j'ai eu la sensation d'être à mi-chemin entre Opéra & Théâtre, entre concert de gros bourrins et sensibilité extrême. le tout vêtu d'une soutane. J'ai pas eu droit à Call Of The Sea, ni à The Human Stain (mais tant mieux, sinon j'aurais pleuré) par contre je fus ravie par Nights of Arabia & Karma, qui est quand même une de mes préférées. Si on m'avait proposé Alexandria par contre, j'aurais pas refusé, mais vu la beauté du solo de Casey Grillo, j'ai fermé ma gueule. Je crois que j'ai rarement vu un jeu aussi tempéré, aussi modéré, aussi caressant que puissant, qui oscille lui aussi entre deux extrêmes. En fait, Kamelot est une superbe histoire de dualisme (en soutane), c'est pour ça que ça me va si bien, je crois. Et puis de toutes façons, ils ont fini par March of Mephisto, le super titre que je n'aurai raté pour rien au monde. J'ai donc attendu la fin du concert pour aller essorer ma culotte, parce que ouah, Kamelot ça poutre tant au niveau de la musique que des paroles (très important les paroles), et j'ai envie de me promettre qu'il y aura une deuxième édition.
Et puis sinon, Roy Khan s'est fait mettre la main au cul par sa choriste. Deux fois. Et Leaves' eyes, c'est un peu à chier quand même.
Quel joli petit logo.
Et puis si jamais prend l'envie à un trve metalhead de me dire que Kamelot, c'est de la musique de pédé, je lui répondrai que c'est sa mère, le pédé.
J'aime bien comme tu racontes les concerts sinon :D On a pas droit à des p'tites photos ?