Moi je vis dans un pays magnifique. Un pays où on crève de chaud avec une moyenne de 39° à l'ombre, un pays où les cigales chantent, où on mange de la tapenade à l'ombre des oliviers en buvant du pastis et où, comble de la joie, pas cours le lundi parcequ'il neige en mars. Alors bon, moi ça fait dix-huit ans que je cherche plus à comprendre hein, ça m'a soûlé maintenant, la magie de la vie, le mystère, tout ça, ras le cul.
Donc, de la neige, youpi. J'ai mis mon plus beau bonnet, mon seul en fait, et je suis sortie batifoler dans la poudreuse, la goutte au nez et le cheveu au vent. J'ai même réussi le headshot parfait, Judy peut en témoigner, avant de me faire marraver au centuple par la même personne. Ha oui, c'est bourré de rancune ces choses là.
Et donc en rentrant, je me suis directement ruée sur la Xbox 360 qui a poussé sur mon bureau comme par magie, il y a quelque temps de cela, et me suis directement mise à jouer à ce qui me motive pour écrire cet article et que vous allez enfin connaître, après une intro super longue et chiante dont personna n'a rien à foutre:
Donc, de la neige, youpi. J'ai mis mon plus beau bonnet, mon seul en fait, et je suis sortie batifoler dans la poudreuse, la goutte au nez et le cheveu au vent. J'ai même réussi le headshot parfait, Judy peut en témoigner, avant de me faire marraver au centuple par la même personne. Ha oui, c'est bourré de rancune ces choses là.
Et donc en rentrant, je me suis directement ruée sur la Xbox 360 qui a poussé sur mon bureau comme par magie, il y a quelque temps de cela, et me suis directement mise à jouer à ce qui me motive pour écrire cet article et que vous allez enfin connaître, après une intro super longue et chiante dont personna n'a rien à foutre:
Dead Space.
<petite musique effrayante>
<petite musique effrayante>
Il faut quand même savoir que le survival horror et moi, c'est un peu une histoire d'amour depuis RE, et que même si rien ne pourra égaler dans mon coeur le doux ondoiement des cheveux soyeux de Leon Scott Kennedy, Dead Space est en bonne voirepour grimper dans mon top personnel et bientôt devenir une de mes nombreuses obsessions sanglantes. Oui, je prend un malin plaisir à démembrer à coup de pied les cadavres des innocents mutilés et m'arrêter pour lire les inscriptions sanglantes aux murs. Les décors sont somptueux, les créatures sont bien sales comme je les aime et, comble de la joie, ça me fait flipper ma race comme pas permis.
J'ai eu des coups de stress monstrueux dans les salles anti-gravité, les zones de vide spatial, les infirmeries dévastées (les expériences médicales, c'est trop le pied) et surtout, surtout le fait qu'ouvrir l'inventaire ne met pas le jeu en pause. Ca, ça devrait être interdit par la loi, et tous les concepteurs de jeu vidéo qui pensent à cette idée devraient se faire arracher les testicules au taille-haie. Je peux aussi le faire avec mes dents, au choix. Bref, histoire que vous ne soyez pas trop largué, pour les non connaisseurs, et aussi parce que j'en ai très envie, je vous fais le topo:
Alors, vous incarnez Isaac Clarke, ingénieur de je-sais-pas-trop-quoi qui se retrouve catapulté sur la station spatiale USG Ishimura, un gros truc flottant qui ne répond plus, tout ça tout ça, enfin bien le scénario catastrophe qui sent le piège à cons depuis vingt-mille lieues.
Catastrophe, c'est le mot. Pas un centimètre carré de la surface des lieux n'est pas recouvert d'une abondante couche de sang visqueux et un pauvre cadavre mutilé est positionné à chaque tournant et derrière chaque porte. C'est donc dans ce décor champêtre que vous vous faites asaisonner de tous les côtés par des sales bêtes puantes et laides, que vous pouvez dézinguer à coups d'armes aussi vraisemblables que le cutter plasma, le trancheur à jambon ou tout simplement votre pied droit, et ça les amis, c'est la meilleure chose qu'il m'ait jamais été donné de faire. ♥ Bref, ce jeu c'est absolument trop de la balle,, de la bombe, de la boulette, et les commandes rapellent un peu celles de RE4 d'ailleurs, histoire de ne me dépayser en rien. Et LE truc trop fou du jeu, accrochez-vous, c'est que quand on appuie sur le joystick de droite, bha on a le trajet à suivre qui s'affiche par terre. C'est pas dingue ça? Moi j'en peux plus, ça me file des palpitations.
J'ai eu des coups de stress monstrueux dans les salles anti-gravité, les zones de vide spatial, les infirmeries dévastées (les expériences médicales, c'est trop le pied) et surtout, surtout le fait qu'ouvrir l'inventaire ne met pas le jeu en pause. Ca, ça devrait être interdit par la loi, et tous les concepteurs de jeu vidéo qui pensent à cette idée devraient se faire arracher les testicules au taille-haie. Je peux aussi le faire avec mes dents, au choix. Bref, histoire que vous ne soyez pas trop largué, pour les non connaisseurs, et aussi parce que j'en ai très envie, je vous fais le topo:
Alors, vous incarnez Isaac Clarke, ingénieur de je-sais-pas-trop-quoi qui se retrouve catapulté sur la station spatiale USG Ishimura, un gros truc flottant qui ne répond plus, tout ça tout ça, enfin bien le scénario catastrophe qui sent le piège à cons depuis vingt-mille lieues.
Catastrophe, c'est le mot. Pas un centimètre carré de la surface des lieux n'est pas recouvert d'une abondante couche de sang visqueux et un pauvre cadavre mutilé est positionné à chaque tournant et derrière chaque porte. C'est donc dans ce décor champêtre que vous vous faites asaisonner de tous les côtés par des sales bêtes puantes et laides, que vous pouvez dézinguer à coups d'armes aussi vraisemblables que le cutter plasma, le trancheur à jambon ou tout simplement votre pied droit, et ça les amis, c'est la meilleure chose qu'il m'ait jamais été donné de faire. ♥ Bref, ce jeu c'est absolument trop de la balle,, de la bombe, de la boulette, et les commandes rapellent un peu celles de RE4 d'ailleurs, histoire de ne me dépayser en rien. Et LE truc trop fou du jeu, accrochez-vous, c'est que quand on appuie sur le joystick de droite, bha on a le trajet à suivre qui s'affiche par terre. C'est pas dingue ça? Moi j'en peux plus, ça me file des palpitations.
J'ai fini.